Bonjour à tous

La connaissance

Définir ce que nous pouvons savoir, comment nous pouvons l'acquérir, qu'est ce le savoir? sont des questions centrales, mais on doit admettre que mes connaissances sont accessibles si on veut débattre.
Les connaissances que nous rencontrons (je connais ma ville), ce que nous savons faire ( je sais marcher) et la connaissance conceptuelle ( je sais que le chien est un mammifère)
Que signifie connaître  une proposition qui est susceptible d'être vraie ou fausse nous pensons connaître a l'aide de nos sens ou nous avons appris par connaître les propositions.
Pour les sceptiques la réalité pourrait être différente de ce quelle paraît,le sceptisme nous met au défi d'expliquer comment nous savons que la réalité est vraie ou faux d'une façon générale. telle que nous en faisons l'expérience.
Pour Platon la connaissance est une croyance vraie et justifié. Est ce que la raison seul peut donner une réponse (position rationaliste) ou bien sur l'expérience sensible pour acquérir tout savoir( position empirisme).
On fait la différence entre croyance et connaissance on peut croire à tord mais on connaît après un recul, une démonstration, des raisons qui permettent de penser qu'une proposition que nous croyons est vraie. En général une preuve ne constitue pas une garantie logique qu'une croyance est vraie.Je crois avoir deux mains mais si je fait une simulation avec un ordi je ne serai pas capable de faire la différence entre le nombre réel et une illusion.
Je voie un livre devant moi et ne me fasse aucun doute ordinaire, mais le sceptique peut laisser apparaître un doute malgré tout."Pour examiner la vérité, il est besoin, une fois dans ma vie, de mettre toute chose en doute autant qu'il se peut" et le sceptique énonce "Est ce que nous pouvons être sure de nos jugements de tous les jours, bien qu'ils soient probablement vrais".Pour les sceptiques il est raisonnable de croire que le monde est sensible et illusoire que croire qu'il est réel.
Il faut douter de la mémoire et de l'expérience sensible, il semble que même nos plus simples jugements logiques et mathématiques soient aussi en proie du doute.
Selon les fiabilistes,une croyance a valeur de connaissance si et seulement si elle est vraie et issue de processus fiable. c'est a dire un processus a gros pourcentage de croyance vraie.
Est ce que je peux faire confiance à nos sens mais il existe en réalité aucun moyen de s'en assurer
L'affirmation des sceptiques"je ne sais pas que je suis  en train de lire mon écran"n'a aucun sens,car cela nous indique que ce "savoir" signifie pour le philosophe Gilbert Ryle l'idée d'erreur mise en avant par les sceptiques présuppose que nous avons parfois"raison",nous ne pouvons concevoir aussi l'imperfection sans la perfection ,mais nous ne pouvons inférer que nous savons quelque chose parce que le sceptique nous dit que nous sommes dans l'erreur.
Winttgenstein tente de montrer en quoi l'exigence de justification des sceptiques n'a pas de sens .En telles circonstances,aucune connaissance n'est affirmée par conséquent,aucune justification n'est nécessaire"Si je devais douter du fait que ma main m'appartienne, comment douter que le mot "main"ait un sens?"Ludwig Wittgenstein.
Une connaissance est elle une croyance vraie qui est bien justifié? et à quel point doit-on"justifier" une croyance pour qu'elle soit connaissance? une connaissance même éprouvée peut être une erreur.
Les infaillibilistes affirment que "Si je sais que p,alors je ne peux pas me tromper à son sujet"
en lecture 1   "il est impossible que bien que je sache que p, je me trompe au sujet de p"
en lecture2 "si je sais que p, il est impossible que je me trompe à son sujet" cette définition dit que, si je sais que p, alors non seulement je ne trompe pas sur p mais doit être dans une position telle que je ne peux me trompe sur p. Le raisonnement exploite cette ambiguïté, nous amèneront à être d'accord avec la première lecture qui est vraie pour conclure ensuite à la deuxième qui n'est pas impliquée par la première.
Les fonctionnalistes pensent qu'en remontant la chaîne des justifications, on aboutit à des croyances vraies"fondamentales" qui ne nécessitent plus de justifications mais pour les empiriste dont Locke e Hume toute connaissance découle de l'expérience.
Les croyances sont structurés par des concepts, mais l'expérience est elle structurée par ces concepts? Selon Sallors tout croyance reposant directement sur l'expérience sensible implique des concepts et dépend donc de déductions d'autres connaissances, C'est pourquoi qu'il ne peuvent avoir des croyances fondamentales sur lesquelles repose tout savoir.
Selon Gettier la connaissance nécessite un paramètre qui tienne  compte des situations dans lesquelles on ne peut être conscient de toutes éventualités.
Certains fabulistes qualifie de connaissance, une croyance dont non seulement dont le processus est fiable, mais elle doit aussi être capable de distinguer les éventualités pertinents de la situation donnée.
Les propositions qui ne peuvent être établies que grâce à nos sens sont dite "à posteriori" les autres " a priori" c'est a dire" à partir de ce qui vient avant".
Les propositions analytiques est si elle est vraie ou fausse simplement en vertu de la signification de ses termes.Elles est synthétique si elle est vraie ou fausse en vertu de ses faits et non simplement de la signification de ses termes.
Le rationaliste prétend que l'on peut avoir ne connaissance synthétique à priori de l'existence des choses hors de notre esprit comme la métaphysique.
L'empirisme prône uniquement que la connaissance par l'expérience
Mais Mill un empirisme pense que nous voulons être heureux,plus controversé il ajoutent c'est la que tout ce que nous désirons, car tous ce que nous désirons participe à notre bonheur.
Pour Y Hume le savoir morale consiste à connaître qu'il n'est fondé que sur l'expérience et qu'il vaut mieux adhérer au subjectivisme qui est l'expression de nos sentiments.
Les émotiviste
Lock et Hume des empiristes le savoir multiple et analytique en développant des séries de définitions que l'on puisse ou non démontrer, que les mathématiques sont analytiques ou insignifiant en définitive, reste à démontrer" Les mathématiques n'ont pas un seul fondement qui ne soit métaphysique" Thomas de Quincey